La cuisine maison est en train de redevenir un pilier du quotidien français. Un retour qui aurait semblé improbable il y a quinze ans, lorsque la restauration rapide et les plats préparés semblaient avoir conquis définitivement les habitudes. Et pourtant, 2025 marque un tournant : on n’a jamais autant cuisiné en France depuis le début des années 1990.
Ce mouvement n’a rien d’un revival nostalgique. Il n’a pas non plus le romantisme des émissions culinaires où la pâte est toujours parfaite et le plan de travail immaculé. Il est profondément contemporain, alimenté par des réalités économiques, des attentes culturelles nouvelles et une transformation technologique silencieuse qui a rendu la cuisine plus accessible, plus simple et plus fiable.
Sommaire
La cuisine maison comme réponse à la pression économique
L’inflation a joué un rôle majeur dans cette mutation. Beaucoup de familles ont redécouvert une équation simple : cuisiner soi-même coûte moins cher. La friteuse à air, par exemple, n’est pas devenue populaire par hasard. Elle consomme peu, nécessite très peu de matière grasse et permet de proposer des repas rapides, variés et plus sains, que l’on utilise un modèle Ninja, un Philips Airfryer, un Tefal EasyFry ou même un Xiaomi Mi Smart Airfryer. Le multicuiseur a lui aussi trouvé son public : il prépare des plats familiaux sans surveillance, avec une consommation électrique maîtrisée. Qu’il s’agisse d’un Moulinex Cookeo, d’un Instant Pot ou d’un Ninja Foodi, la promesse reste la même. C’est une cuisine du quotidien, optimisée, qui parle aussi bien aux familles qu’aux jeunes actifs ou aux étudiants.

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La technologie, nouvelle alliée du fait maison
L’un des points les plus fascinants de cette transition est la manière dont la technologie s’est glissée dans les pratiques culinaire sans être perçue comme invasive. Elle ne remplace pas le geste : elle l’accompagne, elle le renforce, elle le simplifie. Regarder son téléphone pour vérifier une étape, suivre une recette guidée, laisser un multicuiseur gérer une cuisson précise… deviennent des actions naturelles. Le numérique rassure dans une activité où l’erreur a longtemps été la norme. Il neutralise une partie de la charge mentale.
Les marques l’ont parfaitement compris : elles ont investi les contenus, le design d’interface, l’ergonomie. Elles ont transformé l’appareil en coach discret.
Et parmi elles, le Groupe SEB avec ses différentes marques — Moulinex, Tefal, etc… — a su tirer parti de son patrimoine culinaire pour créer des écosystèmes de recettes d’une efficacité remarquable, utilisés aujourd’hui par plusieurs millions de foyers. Par exemple dans le cas d’une de ses cocottes minute Seb a diffusé un livret de recettes arrivé dès ses débuts, pour encourager les utilisatrices à adopter ces nouveaux modes de cuisson.
Une génération qui cuisine avec un smartphone à la main
Les 25–40 ans ont une relation très différente à la cuisine. Ils cuisinent pour se faire plaisir, optimiser leur budget, maîtriser leur alimentation, et parfois pour partager sur les réseaux sociaux leur réussite du soir. Ils n’ont pas appris comme les générations précédentes. Ils ont appris via TikTok, via YouTube, via les applis — qu’il s’agisse de recettes Thermomix, de recettes Cookeo, de tutos Ninja Kitchen ou de vidéos de street food. La recette n’est plus une liste d’instructions : c’est un flux, un tutoriel, une vidéo courte, un pas-à-pas qui s’adapte. Cette génération n’a pas peur du geste culinaire : elle a peur de perdre du temps. Et c’est précisément ce que la technologie lui évite.

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La cuisine maison comme espace de stabilité
Une dimension plus intime explique aussi l’essor de la cuisine maison : dans un monde perçu comme instable, cuisiner procure un sentiment de maîtrise. Un plat réussi rassure. Un dîner partagé ancre. Une recette maîtrisée apaise. La cuisine est redevenue un rituel structurant, un moment de pause, parfois même un geste thérapeutique. Beaucoup de Français ont redécouvert, pendant la crise sanitaire, la capacité de se “tenir” par le biais de la préparation d’un repas. Cette empreinte émotionnelle n’a pas disparu.
Noël, moment clé de cette transformation
Les fêtes jouent un rôle essentiel dans le retour du fait maison. Elles concentrent toutes les dimensions du phénomène : le besoin de tradition, la volonté de faire plaisir, la pression du résultat, la recherche de maîtrise. Le fait que les appareils modernes garantissent une cuisson stable, une température précise, un timing reproductible est un facteur de sérénité. Le multicuiseur devient un filet de sécurité, la friteuse à air une assurance anti-raté, le robot cuiseur un assistant fiable — qu’il soit signé Moulinex, KitchenAid, Bosch ou Thermomix. La technologie ne remplace pas la magie du repas, elle en garantit les conditions.
Vers une cuisine maison plus intelligente et plus sereine
L’évolution ne s’arrêtera pas là. Les appareils deviennent plus précis, plus adaptatifs, plus économes. Les programmes se perfectionnent. Les recettes se personnalisent. Les cuissons s’ajustent automatiquement. Nous entrons dans une ère où la cuisine maison n’est plus un acte artisanal au sens fragile du terme, mais une pratique augmentée, assistée, maîtrisée, sans perdre son âme. Ce que 2025 révèle, c’est que la cuisine maison n’est pas un retour en arrière mais elle est l’expression contemporaine d’un besoin profond : mieux manger, mieux se retrouver, mieux se faire du bien. La technologie n’a pas envahi la cuisine, elle a permis à des millions de foyers — équipés d’un Cookeo, d’un Thermomix, d’un Airfryer Ninja, d’un OptiGrill Tefal ou d’un robot Klarstein — de la réinventer.
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